C’est nettement plus qu’au cours des cinq dernières années durant lesquelles Statbel comptabilisait entre 11.500 et 13.900 postes vacants, également au deuxième trimestre.
La construction affiche ainsi un « taux de vacance » de 8%, largement supérieur à celui de la moyenne de l’économie (4,2). Elle apparaît même comme le secteur connaissant le taux de vacance le plus élevé , après l’Horeca qui peine à reconstituer des équipes après la longue période de fermeture forcée qu’il a connue.